node

Poya. Une grande journée récréative a été organisée dernièrement à Népoui dans le cadre du projet Ensemble bougeons, initié par la DassPS (Direction des affaires sanitaires et sociales et des problèmes de société) de la province Nord et relayé par l’école de Népoui.

L’objectif est de pratiquer une activité sportive tous les jours. L’écolier peut ainsi gagner des cubes énergie qui sont reportés dans un petit livret personnel. L’école Antoine-Griscelli s’est associée au projet et propose, en plus des séances de sports, quatre journées sportives réparties sur le mois de septembre.

Lors de la journée du 7 septembre, les cent soixante élèves se sont retrouvés autour d’ateliers de jeux collectifs. Au programme de la journée d’aujourd’hui, du « run and bike » avec vélos, tricycle et trottinettes. Le rendez-vous suivant est le jeudi 21 septembre. Il sera consacré à l’athlétisme. Le dernier, le 28 septembre, s’effectuera au centre d’accueil permanent de Gouaro, à Bourail, où les enfants et les parents accompagnateurs devront effectuer une randonnée pédestre.

VKP. La Semaine de la mobilité met l’accent sur l’écomobilité et le climat. Des animations sont prévues à Koné et à Voh.

« Se déplacer tout en faisant bénéficier le corps lui-même », au service de la sécurité routière et du climat : voilà l’esprit des deux animations conçues par les services de la province Nord, dans le cadre d’une Semaine de l’écomobilité. Depuis hier et jusqu’à vendredi, vélo sans ou avec assistance électrique, tandem et trottinettes sont de sortie à Koné.

La première animation, matinale, est destinée aux agents de la collectivité publique. La seconde s’adresse à tout le monde, après la classe, de 16 heures à 18 heures, sur le parking de l’école Téari et une partie de la rue, sécurisée par les gardes champêtres communaux et la gendarmerie. Deux gendarmes ont également montré l’exemple en se déplaçant à vélo.

Demain, mercredi 20 septembre, le public pourra visiter, de 14 heures à 16 heures, la ferme photovoltaïque de Témala, à Voh, entrée en exploitation au mois d’avril.

Une animation du Centre d’initiation à l’environnement sur inscription (tél. 87 20 45 ou cie-nord@lagoon.nc).

La Présidence de la province Nord vient d’étre informée d’un tir de fusil sur une classe de l’école primaire du village de Bwapanu (Kaala-Gomen), en ce debut d’aprés-midi, mardi 19 septembre.

Les enfants étaient en cours avec leur enseignant. Le projectile a traversé la grille de l’établissement et fort heureusement, personne n’a été blessé !

La province Nord condamne cette violence inacceptable ainsi que toutes celles qui out également eu lieu récemment sur les agents de la Gendarmerie.

La province Nord encourage les services compétents a faire tout ce qui est en leur pouvoir pour identifier les agresseurs afin qu’ils soient interpellés et jugés comme il se doit.

Enfin, la province Nord apporte tout son soutien le plus sincére aux enfants de Bwapanu (kaala- Gomen), aux équipes enseignantes, aux parents, a la population toute entiére. Elle restera mobilisée pour accompagner au mieux chacun et chacune dans cette épreuve.

Ainsi, d’ores et déja, les administrés sont informés que les enfants ne seront pas accueillis demain, mercredi 20 septembre 2017, a l’école primaire du village. Les cours pourront reprendre, sauf communique contraire, le jeudi 21 septembre 2017 au matin.

La matinée de commémoration d’hommage aux combattants tombés lors de la Guerre de 14-18 organisée, hier, par l’Association pour la réhabilitation du patrimoine de Do Néva s’est déroulée en trois temps.

Tout d’abord, en partenariat avec la commune, avec un dépôt de gerbe au monument aux morts de la mairie par le maire, Pascal Sawa, et le président du district de Néouyo, Anicet Mee.

« La Grande Guerre, qui a vu deux grands blocs de pays s’affronter quatre longues années, a entraîné la mort de plus de neuf millions d’hommes, a entamé Pascal Sawa. La Métropole a payé un lourd tribut avec un million quatre cent mille soldats tombés au combat. Parmi ces hommes se trouvaient nos anciens, engagés ou mobilisés, à qui nous devons respect et devoir d’hommage. » Et le maire de préciser : « De très nombreux Calédoniens, sans distinctions religieuses (catholiques, protestants ou d’autres religions), sans distinctions ethniques (Kanak, Caldoches, Wallisiens, Asiatiques ou Métis) ont trouvé la mort pendant ce conflit. C’est pour rendre hommage à tous ces valeureux combattants et nous souvenir de leur sacrifice que nous sommes rassemblés. »

Pascal Sawa a ensuite délivré un message de paix. « Nos anciens nous laissent toujours un héritage, celui des valeurs à protéger et sauvegarder, celui du devoir envers sa famille et son pays, celui de toujours s’insérer dans les messages de paix. Car au-delà des raisons du conflit qui les transportaient très au-delà des mers, nos anciens se battaient pour voir revenir, pour voir consacrer ce qui n’aurait jamais dû être rompu, ce qui n’aurait jamais dû être perdu : la paix entre les hommes. [...] Notre héritage c’est de sauvegarder la paix, c’est de prôner et d’organiser la solidarité entre les hommes, c’est de prôner et de pratiquer le partage. »

« Commémorer, c’est saisir la force des générations qui nous ont précédés afin de faire des leçons de vie pour les suivantes », a ensuite déclaré le maire. « Notre pays est engagé dans une volonté de destin commun de tous les hommes et femmes. Cette conception d’un destin commun, de paix, de sérénité entre les hommes, c’est le message que nous devons porter hommes et femmes de toutes les origines habitant ce pays… » Et de conclure : « C’est du passé que naît l’espoir, l’espoir d’un avenir conscient des leçons du passé. »

Le second temps s’est tenu à Do Néva devant le monument aux morts et celui à la mémoire du pasteur Leenhardt. Thomas Carlen, ancien président de l’ARP Do Néva aux côtés de l’actuel président Erhard Kavisoibanou, a pris la parole. Il a notamment rappelé que cette matinée entrait « dans le cadre du 500e anniversaire de la Réforme ». Puis a souligné le rôle joué par l’école pastorale sur la zone et que « la pierre surmontant le monument Maurice Leenhardt représente le vivre ensemble, le destin commun. » Arnold Poedi, chef d’établissement de Do Néva, et Alfred Kavivioro, adjoint au maire, ont ensuite fleuri le monument, et des écoliers ont chanté. Le troisième temps a été une conférence donnée par Sylvette Boyer, docteur en histoire, à la vieille école sur « L’Engagement de Protestants de la Grande Terre dans la Grande Guerre. »

Après la province des Iles Loyautés, une pollution aux boulettes d'hydrocarbures a été signalée en province Nord sur les communes de Waa wi Luu (Houailou), Pwäräiriwâ (Ponérihouen), Pwêêdi Wiimîâ (Poindimié) et Tuo Cèmuhî (Touho).

Le plan POLMAR-TERRE a été activé depuis le 29 novembre et la DSCGR NC assure la coordination de la réponse à cette pollution. Deux PC ont été installés hier en province Nord, le premier à Waa wi Luu (Houailou) et le second à Pwäräiriwâ (Ponérihouen).

La province Nord, au titre de sa compétence environnementale, assistera la sécurité civile par la mise à disposition des moyens nautiques nécessaires à l'évaluation/identfication des sites éventuellement impactés. En cas de besoin, les agents des services techniques et vétérinaires provinciaux seront également mobilisés pour appuyer la sécurité civile dans ses opérations.

La province Nord appelle la population à respecter les consignes de sécurité qui seront données par les communes concernant les éventuelles interdictions de baignades ou de pêches, ainsi que celles de la sécurité civile concernant le ramassage des polluants. La population est invitée à contacter la gendarmerie (17) ou le centre d'incendie et de secours de leur commune (18) en cas de découverte de boulettes d'hydrocarbures.

Cette pollution, dont l'enquête déterminera les origines, risque d'avoir un impact sur notre biodiversité, en conséquence la province Nord engagera les poursuites judiciaires nécessaires pour les atteintes causées.

La province Nord informe les usagers enpruntant la route provinciale n°3, section comprise entre le pont Mokoué et le sommet du col de Pétchékara, que la circulation sera fermée temporairement lundi 16 octobre 2017, de 8h à 15h, pour des travaux de réparation sur la chaussée.

La circulation pourra être rétablie sans autre préavis.

La province Nord, maître d’ouvrage, informe les riverains et les usagers du col d’Amos que des travaux de reprise seront entrepris sur le versant Ouest à compter du lundi 23 octobre 2017, sur trois tronçons d’une longueur totale de 1 200 m et pour une durée de 5 semaines hors intempéries.

Ces travaux sont rendus nécessaires suite au constat de déformations sur le revêtement routier. Les investigations menées au cours de cette année ont mis en évidence une mauvaise qualité de matériaux de chaussée et une mauvaise mise en oeuvre du revêtement.

Ces travaux seront réalisés au frais des entreprises titulaires du marché.

Aucune réception de travaux n’a été prononcée sur cette opération par le maître d’ouvrage.

La province Nord prie les usagers de bien vouloir l’excuser pour la gêne occasionnée.

Regroupant une trentaine d’associations réparties sur les trois provinces, le Collectif-handicaps, basé à Nouméa, rendra visite à la province Nord samedi prochain, à Koné. Le temps d’une journée « festive » dans le but de « sensibiliser aux différents handicaps, physiques et mentaux », mais aussi de permettre aux familles et aux personnes handicapées de partager, explique Marion Retouret, de la fédération basée à Nouméa. Un nom tout trouvé désigne ce temps fort : « Handinord ».

« Il y a un besoin d’information du grand public, assure Marion Retouret, mais aussi des équipes médicales et scolaires, afin de diagnostiquer le plus tôt possible les handicaps, d’accompagner la dépendance, etc. » Le Collectif-handicaps, qui travaille avec le gouvernement sur un schéma directeur du handicap et de la dépendance, est aussi là pour « orienter les personnes vers les institutions qui pourront les aider ».

C’est la deuxième année que le Collectif-handicaps organise un événement de ce genre. L’an dernier, un millier de personnes s’étaient rendues au centre culturel Tjibaou pour la journée internationale du handicap, le 3 décembre. Lors de ce « grand succès », le Collectif-handicaps avait été approché par des élus de la province Nord, qui avaient alors proposé d’accueillir une journée similaire, explique Marion Retouret.

Tout se passera sur le site de l’ancienne école Les Flamboyants, au centre du village. Après une coutume de bonjour, des ateliers de sensibilisation seront animés à partir de 10 heures par les associations spécialisées : langue des signes (LSF), braille, dépistage du diabète, parcours à l’aveugle ou prothèses 3D. Dans le même esprit de « partage », deux documentaires seront diffusés sur les handicaps mentaux. Les associations tiendront des stands d’information. Des objets fabriqués ou produits par les personnes handicapées dans les ateliers associatifs seront également en vente : savons, coussins, produits alimentaires, plantes, peintures...

Les talents et les savoir-faire de ces mêmes personnes s’exprimeront également en musique. Deux artistes sont également invités : Yxson et Naya Roots. Un espace pour les enfants est également prévu.

Même si les sujets sont sérieux, « ce n’est pas une journée triste », souligne Marion Retouret.

Le Collectif-handicaps a souhaité achever cette journée avec un spectacle de la compagnie KoneXcité de Koné, La faille et le tango. Il sera joué à l’auditorium du complexe culturel à 18 heures, déconseillé au jeune public en raison de son thème : les violences conjugales.

Samedi 28 octobre, de 9 heures à 17 heures, à l’ancienne école les Flamboyants. Gratuit. Restauration sur place.

Le grand rendez-vous de la jeunesse organisé hier sur le thème du « Bien-être communautaire » a manqué de… jeunes. Seulement une quinzaine de participants étaient présents dans les jardins de la mairie.

Et ce, en raison d’un mouvement de grève à l’internat provincial de Koumac qui a privé l’événement de la présence, notamment, d’élèves de l’antenne de lycée professionnel qui y avaient été conviés. Autre explication avancée, les restrictions budgétaires qui n’ont pas permis d’affréter les transports des jeunes depuis leurs communes d’origine.

Après avoir procédé, en début de matinée, au traditionnel protocole auprès des autorités coutumières du district de Koumac, les organisateurs ont présenté le déroulement de la journée. Dès 9 heures, trois ateliers d’animation, placés sous la responsabilité d’agents formateurs jeunesse, ont ouvert leurs portes. Les participants ont ainsi pu passer de l’un à l’autre : un jeu de l’oie, une grande roue et un jeu de piste.

A la charge de chacun de répondre à une question concernant les incivilités. Toute bonne réponse donnée par le « joueur » était gratifiée d’une petite récompense.

En début d’après-midi, les jeunes et les agents formateurs jeunesse ont participé à un débat sur le thème de la journée animé par le Collectif « Mieux vivre à Koumac » et des intervenants extérieurs. Cet événementiel était organisé par l’ensemble du réseau information jeunesse de la province Nord, en partenariat avec la mairie de Koumac, l’office municipal des sports et le Collectif « Mieux vivre à Koumac ».

« Nous avons constaté sur Koumac, mais également sur certaines communes de la province Nord, une recrudescence des incivilités, émanant principalement de la jeunesse. On pointe souvent du doigt les jeunes mais ce ne sont pas forcément eux les auteurs, les adultes étant parfois fauteurs de troubles au sein des villages », insiste Lékia Kamouda, documentaliste de l’ensemble des points information jeunesse (PIJ) de la province Nord.

« Le principal objectif de cette journée est de faire parler les jeunes, de les faire s’exprimer sur leurs préoccupations face aux incivilités, de leur faire étaler tout ce qu’ils ont sur le cœur et ce, afin de pouvoir trouver des solutions pour remédier à toutes ces incivilités, à tous les soucis qu’ils ont en eux », plaide Lékia Kamouda. « De leur faire dire pourquoi ils font telle et telle chose dans leur village. Notre rôle est d’être à leur écoute. Nous cherchons aussi à ce que les jeunes puissent s’exprimer et échanger avec des jeunes des autres communes au travers des ateliers mis en place »

La province Nord informe la population de la commune de Vook (Voh) que pour des raisons indépendantes de sa volonté, le centre médicosocial sera fermé à compter de ce vendredi 10 novembre 2017 à 12 heures et ce jusqu’au lundi 13 novembre 2017,  7h30.

En cas d’urgence, veuillez contacter le SAMU « centre 15 » ou vous rendre au CHN de Koumac  (tel 42.65.00) ou au CMS de Koné (tel : 47.72.50) en fonction de l’urgence et du délai de route.

La province Nord s’excuse auprès de la population des désagréments occasionnés par cette fermeture.

La province Nord informe la population de la commune de Ouégoa que pour des raisons indépendantes de sa volonté, le centre médicosocial sera ouvert en infirmerie uniquement (pansement et soins infirmiers; pas de consultation médicale), à compter de ce vendredi 03 novembre 2017 12 heures et ce jusqu'au lundi 13 novembre 2017, 7h30 :

-Une consultation médicale sera assurée à Bondé par le médecin de Pweevo (Pouébo) le lundi 06/11/17 matin

-Une consultation médicale sera assurée pour le village par le médecin de Pweevo (Pouébo) le lundi 06/11/17 après-midi

-Une consultation médicale sera assurée à Paimboas par le médecin de Pweevo (Pouébo) le mardi 07/11/17 matin

En cas d'urgence, veuillez contacter le SAMU "centre 15" ou vous rendre au CHN de Koumac (tél : 42 65 00) ou au CMS de Pweevo (Pouébo) (Tél : 47 74 90) en fonction de l'urgence et du délai de route.

La province Nord s'excuse auprès de la population des désagréments occasionnés par cette fermeture.

«2017 est l’année du centenaire de la dernière guerre kanak qui se déroula à l’ombre de la Grande Guerre de 14-18, dans un contexte où la pression coloniale est à son comble », pose le conseil coutumier de l’aire Paicî-Cèmuhî dans un document de présentation de la commémoration à venir de ce centenaire. « Le 28 avril 1917, le grand chef Noël de Cèmû, son frère Wâïï et le chef Poindet Apangou de Netchaot constituent un front de guerre contre le système dominant lors du recrutement des volontaires pour la guerre en Europe. Ces trois personnages symbolisent la résistance kanak dans la région de Koné/Pouembout/Voh. »

Le conseil coutumier initie cette commémoration en l’organisant avec différents partenaires autour du thème « Weari Jèèmâ Nâ I Pii Jè » (« Gardons l’histoire qui nous unit »). « Pour l’organiser, on a réuni depuis le début de l’année un comité technique permanent composé des huit districts et cinq communes de l’aire, la province Nord, l’ADCK et le centre culturel Pomémie, au niveau local, précise Reybas Waka-Ceou, membre du bureau du conseil d’aire. On a aussi associé le Sénat coutumier, les deux autres provinces, le haussariat et les deux associations des maires, pour en faire un événement pays. »

Dès le jeudi après-midi, le comité permanent prévoit d’accueillir les délégations de tout le pays. « L’hébergement est organisé dans les tribus proches de Baco et Koniambo et au centre d’hébergement de la mairie de Koné », poursuit Reybas Waka-Ceou.

Les festivités débutent le vendredi à partir de 9 heures avec le protocole coutumier, puis les discours officiels.

« On convie toute la population à venir découvrir cette page de l’histoire. Toutes les communautés sont invitées dans un esprit de partage entre tous, ajoute Reybas Waka-Ceou. Nous attendons entre 300 et 500 personnes. Le vendredi, ce sont d’ailleurs les autres communautés qui vont assurer les repas du midi et du soir. Chaque communauté va proposer ses spécialités culinaires avec un système de tickets repas. » Côté animations, danses, chants, musique, conférences, expositions, projections de films, spectacle thématique sont au programme.

En soirée, « il y a le film 1917 d’Allan Nogues, ainsi qu’un film de témoignages liés à la guerre de 1917, réalisé par Cristèle Deplanque et Justine Cidopua », précise Samuel Goromido, chargé de mission au conseil coutumier pour l’organisation de l’événement.

Samedi, deux visites guidées de sites sont organisées. L’une le matin avec Samuel Goromido à Pwënâcen, « là où a eu lieu la séparation des clans qui ont été pourchassés par l’armée en 1917 », vers l’aire de repos de Netchaot. L’autre en début d’après-midi avec Victorin Poady « au lieu-dit Cèmû près de la tribu de Koniambo, là où le grand chef Noël a été décapité. » A noter également un grand repas partage autour du four kanak à midi. « Ainsi que les conférences d’Isabelle Merle et d’Adrian Muckle, qui ont beaucoup travaillé sur cette période-là avec des universitaires du pays pour faire partager cette mémoire de la guerre de 1917, à réhabiliter et à mettre au goût du jour », conclut Reybas Waka-Ceou.

La province Nord informe la population de la commune de Vook (Voh) que pour des raisons indépendantes de sa volonté, le centre médicosocial sera fermé tous les weekends du vendredi 12h au lundi suivant 7h30, à compter de ce vendredi 17 novembre 2017 et ce jusqu’au lundi 1^er janvier 2018. Les consultations et la prise en charge des urgences en semaine seront assurées par le centre médicosocial de Vook (Voh).

En cas d’urgence le weekend, veuillez contacter le SAMU « centre 15 » ou vous rendre au CHN de Koumac  (tel 42.65.00) ou au CMS de Koohnê (Koné) (tel : 47.72.50) en fonction de l’urgence et du délai de route.

La province Nord s’excuse auprès de la population des désagréments occasionnés par cette fermeture du dispensaire de Vook (Voh) les weekends.

Nord Aménagement, la société d’économie mixte provinciale, conduit plusieurs opérations de construction de bâtiments publics, non seulement sur VKP mais aussi dans d’autres communes. Récemment, son expertise a atteint Pouébo, qui lui commande un centre multiservices pour dynamiser son activité économique.

Mots-clés : aménagement, collège de Tiéta, foncier coutumier, immobilier, Nord Aménagement, Pouébo, restructuration, société d’économie mixte locale, Saeml Grand projet VKP, Université de la Nouvelle-Calédonie.

C’est  une  construction  qui  rassemblera  des  services  variés   à  la  population   et   fera   même   office   de   gare   routière.   Le « centre multiservices de Pouébo » est attendu par cette petite commune de la côte Est,  car  il  hébergera,  en  premier  lieu,  des services médicaux (une pharmacie,  un  cabinet  médical,  un kinésithérapeute), une agence bancaire, des toilettes publiques et des commerces (dont un restaurant). Mais on y trouvera aussi des structures facilitant l’activité économique et sociale : un centre de collecte des produits agricoles et de la pêche ; un centre pour l’artisanat ; des bureaux administratifs, une aire de rencontres conviviales. Enfin, la mairie a voulu en faire un « hub » pour les transports : le centre abritera la gare routière, l’arrêt de bus du réseau interurbain RAÏ et des parkings. « La commune de Pouébo, maître d’ouvrage, a fait le bilan des besoins de sa population. Elle a constaté les  files  d’attente  démesurées  au  dispensaire, le manque de services bancaires, la nécessité d’un espace pour les permanences administratives… », indique Laurent Seveau, directeur des opérations de Nord Aménagement. « La mairie nous fait confiance. Nord Aménagement est un partenaire idéal pour les communes du nord, cette opération le montrera. »

Un bâtiment sur mesure

La province Nord informe la population que pour des raisons de service, seules les urgences seront assurées le mardi 28 novembre 2017 dans l’ensemble des centres médico-sociaux de la province nord. Les consultations reprendront normalement dès le lendemain.

La province Nord s’excuse auprès de la population des désagréments occasionnés par cette fermeture exceptionnelle des dispensaires sur l’ensemble des communes du nord.

«Cette marche est le démarrage de seize jours d’activisme contre les violences faites aux femmes », insiste Françoise Santino, présidente de la Fédération des femmes de Koumac (FFK).

Deux groupes formés de femmes, d’hommes et d’enfants ont ainsi défilé ce samedi matin, l’un partant de la station Shell, à l’entrée sud de Koumac, l’autre depuis l’embranchement de Pagou, à l’entrée nord du village, pour se rejoindre au point de ralliement situé devant les jardins de la mairie.

« Notre fédération a décidé de marquer le coup pour les femmes de notre commune en faisant cette marche empruntant les rues principales du village », souligne Françoise Santino. « L’important c’est d’être vus. C’est de clamer haut et fort qu’il faut arrêter les violences, qu’il faut que les femmes arrivent à parler et à briser le silence pour justement que ces violences s’arrêtent. C’est en en parlant, qu’on arrive à trouver des solutions, à faire que la situation s’améliore pour les unes comme pour les autres. »

Arrivés devant les jardins de la mairie, les participants se sont vu offrir une petite collation. « On a fait aussi quelques petites fleurs orange et blanches, réalisées par des membres de la Fédération, qui sont à vendre », ajoute Françoise Santino.

Au regard des actions entreprises, dans le même sens, les années précédentes, la présidente de la Fédération des femmes de Koumac ne constate que quelques très fines améliorations.

« Au niveau de la province comme de la commune, il n’y a pas forcément un schéma très structuré de prise en charge des femmes en difficulté - à l’exception des Centres d’accueil des femmes en difficulté de Témala (Cafed) et de Poindimié. Cela se fait beaucoup sur volontariat de personne en difficulté à personne de la Fédération à l’écoute. On essaie de voir avec elle ce que l’on peut faire, ce qui n’est pas toujours évident. Il faut dire que c’est la victime de violences qui est actrice de sa liberté. Nous ne sommes là que pour l’aider, la guider, la conseiller. Il y a également des personnes-ressources - la conseillère juridique, l’assistante sociale, etc. - qui sont là, mais de façon ponctuelle », précise Françoise Santino.

«L’idée m’est venue l’année dernière en passant à Oundjo, où on voit des panneaux avec des visages d’enfants. J’ai vu à travers ces panneaux deux avantages : le fait que ce soit un enfant qui transmette le message à un adulte, c’est doublement respecté, et il y a aussi un côté matériel, ces panneaux-là sont les seuls à ne pas souffrir de vandalisme », a rappelé lundi Sylvie Soubrier, référente sécurité routière de la Defij* en province Nord, à l’occasion de la pose à Koé de panneaux pédagogiques réalisés par des écoliers.

Sylvie Soubrier, qui ne compte plus les kilomètres parcourus pour porter ses actions, s’est rendu compte de la dangerosité de la circulation dans la traversée de la tribu de Koé. « Avec la configuration de l’axe routier, avec ces lignes droites, ma plus grande frayeur était qu’un jour un enfant traverse brusquement la route », ajoute-t-elle.

Les aménagements en cours sur la route à ce moment-là ont conduit la référente sécurité routière à se rapprocher de la Daf (direction aménagement foncier) qui effectuait les travaux, de la commune et des coutumiers dans le but de coordonner une action ensemble, incluant des panneaux réalisés par des enfants.

Cette démarche s’est concrétisée par une rencontre entre des élèves de Koé de cycle 2 de l’école Marie-Emerante du village. « Cela s’est déroulé sur quatre vendredis », raconte Delphine, institutrice à la maternelle du village. « Nous avons travaillé avec cinq groupes : un sur les bambous gravés (les dessins qui ornent les bords des panneaux s’inspirent de la gravure sur bambou), deux groupes pour les messages - un pour le français, l’autre pour le cèmuhî -, un groupe pour la photographie et un groupe pour des jeux sur la sécurité routière. » Les élèves ne cachaient pas leur joie ce lundi. Ils ont parcouru toute la tribu à pied, s’arrêtant à chaque cadre encore vide. « Aujourd’hui, en voyant l’apposition de leurs panneaux, les enfants voient le pourquoi du travail », insiste Sylvie Soubrier. « Cela donne un sens à leur apprentissage en étant là avec l’équipe de la Daf. »

Raymond Pabouty, petit chef de Koé, n’a pas manqué l’événement. Il a suivi lui aussi l’équipe de la Daf et le groupe d’écoliers dans la traversée de sa tribu. « Ça va changer beaucoup de choses », dit-il. « Cela rappelle d’abord aux automobilistes qu’ici, à la tribu, il y a aussi des enfants. Il fut un temps où on ne mettait que des panneaux, mais les gens ne les respectent pas. Il fallait autre chose et la photo d’un enfant, ça interpelle. »

La création des panneaux a été financée à 100 % par Koniambo nickel et les travaux (réfection de la route, passages piétons protégés, dos-d’âne), seront inaugurés vendredi.

Conformément au dispositif ORSEC de Nouvelle-Calédonie relatif aux feux de forêt, et notamment l'arrêté n° 2017-013988/GNC-Pr du 16 septembre 2017, et considérant les risques importants d'incendies d'espaces naturels pouvant menacer les personnes, les biens et l'environnement, tout feu à usage non domestique sera interdit sur l'ensemble de la Nouvelle-Calédonie, dès lors qu'une commune au moins sera placée par les services de la météorologie de la Nouvelle-Calédonie en risque "extrème" du dispositif Prévifeu, et ce jusqu'au 15 décembre 2017 inclus.

La commune de Nouméa est plaçée ce jour, par les services de Météo France NC, en "risque extrême" dans le cadre du dispositif de vigilance Prévifeu.

Par conséquent, l'utilisation du feu à usage non domestique est interdite sur l'ensemble de la Nouvelle-Calédonie ce jour (le 08 décembre 2017).

La direction de la sécurité civile et de la gestion des risques appelle la population à se conformer à cette interdiction.

La province Nord informe la population de la commune de Vook (Voh) que pour des raisons indépendantes de sa volonté, le centre médicosocial sera fermé tous les weekends du vendredi 12h au lundi suivant 7h30 jusqu’au 1^er janvier 2018. Les consultations et la prise en charge des urgences en semaine seront assurées par le centre médicosocial de Voh.

En cas d’urgence le weekend, veuillez contacter le SAMU « centre 15 » ou vous rendre au CHN de Koumac  (tel 42.65.00) ou au CMS de Koohnê (Koné) (tel : 47.72.50) en fonction de l’urgence et du délai de route.

La province Nord s’excuse auprès de la population des désagréments occasionnés par cette fermeture du dispensaire de Vook (Voh) les weekends.