Les centres de vacances au coeur des débats

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Une quarantaine d’acteurs de centres de vacances et de loisirs, originaires de différentes communes de la province Nord, étaient réunis, samedi, dans le cadre de la journée des associations.

« Le public visé était essentiellement les associations qui organisent des centres de vacances et de loisirs, mais aussi les directeurs, les équipes et les partenaires intervenant dans les centres de vacances ainsi que toutes les personnes qui gravitent autour, comme les communes, les coutumiers, les autorités compétentes… », explique Carine Nativel, animatrice socio- éducative à la Direction des sports et des activités socio- éducatives (DSASE). Lors de cette première journée des associations, organisée par la province, les différents acteurs se sont réunis dans l’établissement scolaire de Baganda. Les intervenants ont été répartis en deux ateliers de travail : les directeurs de centres de vacances et de centres de loisirs et les organisateurs de ces centres.

Bilan après les grandes vacances
La consigne donnée par les organisateurs pour les deux groupes de travail était de faire le point et le bilan des centres de vacances et des centres de loisirs organisés durant la période des grandes vacances scolaires 2017/2018, chacun dans son domaine particulier d’activité. « Nous faisons le point, nous identifions les difficultés rencontrées, sachant qu’il y a eu des périodes de dépression, de cyclone… Il s’agit pour chacun des acteurs d’échanger sur leurs difficultés et de savoir comment ils ont réagi face à elles », poursuit Carine Nativel. Le compte rendu du débat qui a suivi le travail de groupes sera adressé par la DSASE aux différents acteurs du secteur. « 70 % des organisateurs de centres de vacances sont là aujourd’hui. Je suis satisfaite qu’il y ait toujours autant de motivation et d’implication pour venir à ces journées des associations. Une journée que les acteurs ont décidé de mettre en place ici à Baganda. Ce n’est pas une décision du service mais bien une décision participative, collégiale. Ils sont là et se prêtent au jeu de travailler sur les bilans de cet été. Et ce qui motive », conclut Carine Nativel.

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